Vous avez eu le fameux coup de cœur pour votre maison : celui qui vous a fait dire, pas plus tôt la porte passée, c’est ici que nous voulons vivre !! Les années passent, la famille s’agrandit et vous voilà maintenant un peu à l’étroit.

Quelles sont les solutions qui s’offrent à vous ? Changer de maison ? Ce qui signifie changer de quartier, faire les cartons, organiser un déménagement, gérer la vente de votre maison actuelle et l’achat de la future… Le temps et l’énergie que cela représente vous laisse perplexe rien que d’y penser ?!

Alors deuxième solution : poussez les murs (ou le toit) de votre maison pour gagner le volume qu’il vous manque ! Choisissez l’option « extension de maison » et faite évoluer votre patrimoine, ce qui vous permettra par la même occasion de lui rajouter de la valeur.

1. Extensions, avant de se lancer : quelles sont les contraintes ?

Créer une extension est un projet qu’il ne faut pas prendre à la légère. La première chose à faire est de se renseigner auprès du service d’urbanisme de votre commune, afin de connaître ce qui est possible de faire (ou pas) et quelle est la réglementation d’urbanisme. En fonction des villes et régions, certaines communes imposent des contraintes de matériaux, de couleurs, de hauteur de construction, d’emprise au sol, d’implantation par rapport aux limites de propriété, etc…

Pour cela – Attention : utilisation abusive d’acronymes barbares en vue – vous devez consulter le contenu du POS (Plan d’Occupation des Sols) ou du PLU (Plan Local d’Urbanisme). Vous devez également vérifier ce que votre COS (Coefficient d’Occupation des Sols) vous permet …